Barbara Carnevale & Jean Charasse © DR
Le tandem Barbara Carnevale & Jean Charasse s’est imposé à Françoise Besson comme un juste chemin pour explorer les voies du silence et approfondir la question de la trame.
Réunir ces deux artistes, c’est créer un maillage sculptural, où volumes et monochromes dialoguent dans une quête sourde du silence. Dans cet ensemble, l’invisible tend à se manifester, et des rencontres se créent de haut en bas, de gauche à droite, à la manière d’un métier à tisser.
Ce sont ces lignes qui ont fait naître l’image d’une exposition où tout est plan et structure, où vont se confronter sculptures diaphanes, tableaux aux volumes recouverts de tissu tendus, et sensibles dessins.
Dans une poussée aveugle et organisée, Barbara Carnevale laisse place à l’aléatoire et soumet aux rencontres et aux contraintes (matérielles, industrielles et financières) son désir de traverser le temps. La proposition d’une pièce monumentale et fragile raconte de façon concrète et allégorique les mouvements préalables à sa survenue.
De son côté, Jean Charasse poursuit dans ses tableaux aux techniques mixtes de bois et tissus ses recherches d’équilibre entre tension et structure, entre formes et couleurs. Toujours, dans cette inlassable quête de dépouillement et d’épure pour ne laisser que les traces, les traces subtiles, les traces d’expérience, et celles du dépassement.
Enfin, cette rencontre est l’occasion de réunir deux territoires, la région PACA et la région Auvergne Rhône-Alpes, et de créer un lien entre Lyon et Marseille. En effet, en collaboration avec Isabelle et Roland Carta, le duo a carte blanche pour investir l’espace le 33 en parallèle à l’exposition lyonnaise, du 28 avril au 22 juin prochain.
Réunir ces deux artistes, c’est créer un maillage sculptural, où volumes et monochromes dialoguent dans une quête sourde du silence. Dans cet ensemble, l’invisible tend à se manifester, et des rencontres se créent de haut en bas, de gauche à droite, à la manière d’un métier à tisser.
Ce sont ces lignes qui ont fait naître l’image d’une exposition où tout est plan et structure, où vont se confronter sculptures diaphanes, tableaux aux volumes recouverts de tissu tendus, et sensibles dessins.
Dans une poussée aveugle et organisée, Barbara Carnevale laisse place à l’aléatoire et soumet aux rencontres et aux contraintes (matérielles, industrielles et financières) son désir de traverser le temps. La proposition d’une pièce monumentale et fragile raconte de façon concrète et allégorique les mouvements préalables à sa survenue.
De son côté, Jean Charasse poursuit dans ses tableaux aux techniques mixtes de bois et tissus ses recherches d’équilibre entre tension et structure, entre formes et couleurs. Toujours, dans cette inlassable quête de dépouillement et d’épure pour ne laisser que les traces, les traces subtiles, les traces d’expérience, et celles du dépassement.
Enfin, cette rencontre est l’occasion de réunir deux territoires, la région PACA et la région Auvergne Rhône-Alpes, et de créer un lien entre Lyon et Marseille. En effet, en collaboration avec Isabelle et Roland Carta, le duo a carte blanche pour investir l’espace le 33 en parallèle à l’exposition lyonnaise, du 28 avril au 22 juin prochain.